Au-delà des échanges, l’association a besoin de connaître la réalité du tissu économique kanak. D’où le lancement d’une étude sur le sujet. « Au niveau quantitatif, nous avons besoin de savoir combien nous sommes, combien d’entreprises fonctionnent », indique John Passa, le président de l’association.
La jeune structure souhaite aussi « associer dans cette étude les éléments de ce que l’on appelle l’économie informelle… dans laquelle les Kanak sont très inscrits ».